Normalienne, historienne, philosophe et journaliste, Diane Ducret a animé le Forum de l’histoire sur la chaîne Histoire, et réalise des documentaires pour l’émission « Des Racines et des ailes ». En 2011, elle sort son premier livre, « Femmes de Dictateur », best-seller en France et traduit dans vingt langues. Un second tome paraît en 2012. En 2013, elle publie « Corpus Equi », prix du premier roman à La Forêt des livres, coup de cœur de l’émission Le Masque et la Plume, un roman autobiographique véritable ode au cheval et à la liberté. Elle publie en 2014 un essai sur le sexe féminin, « La Chair interdite » aux éditions Albin Michel. En 2015, elle publie aux Éditions Perrin / Plon un ouvrage intitulé « Lady Scarface » qui raconte les destins croisés de femmes de gangster de la pègre américaine.
En janvier 2017, elle publie chez Pocket « Les Marraines du Crime », un ouvrage dans lequel, à partir d’archives déclassifiées, de journaux de l’époque, d’entretiens avec des descendants et de documents inédits, Diane Ducret dévoile l’intimité de ces femmes gangsters américaines durant les années folles. En mars 2017, elle publie aux Editions Flammarion « Les indésirables ». Dans cet ouvrage, Diane Ducret nous raconte l’histoire du camp de Gurs dans les Pyrénées-Atlantiques.
Cette année sort chez Flammarion un nouveau roman, La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose, ou : Comment s’aimer soi-même quand la vie fait tout pour l’empêcher ?
La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose
La loi de Murphy n’est rien comparée à la loi d’Enaid : tout ce qui est susceptible de mal tourner tournera plus mal encore qu’on aurait humainement pu le prévoir.
Après avoir été quittée à Gdansk par téléphone, Enaid se rend à l’évidence : les fées qui se sont penchées sur son berceau sont dû s’emmêler les pinceaux. Comment expliquer, sinon, la sensation qu’elle a depuis l’enfance qu’il lui a toujours manqué quelqu’un ?
Il y a de quoi se poser des questions quand les parents adoptifs sont en fait ses grands-parents, que la mère est danseuse de nuit, que le père change de religion comme de famille, que les bunkers de l’ETA servent d’école buissonnière. Et que l’accident d’un instant devient la fracture de toute une vie.
On peut se laisser choir ou faire le saut de l’ange. Etre boiteux ou devenir un flamant rose. Sur ses jambes fragiles, tenir en équilibre avec grâce par le pouvoir de l’esprit, un humour décapant et le courage de rester soi.